Tout d'abord, je vous souhaite le bonsoir! et la bienvenue sur ce blog les amis.
Si vous êtes en France, il est 16.30;
si vous êtes en Australie (par exemple, comme ça), il est 2.30;
ici à Hong-Kong c'est le début de ma nuit, il est 23.30.
Oui on va commencer les hostilités tard ce soir, cause yesterday night was long. So long, so hot, so good.
Donc un premier constat : on ne perd pas ses habitudes, même sur un autre continent. Surtout lorsque votre coquin de guide (mon poto Vincent) vous présente à des gens qui ont de bonnes habitudes (certains viennent d'un autre continent).
Vincent présente Vincent à des personnes qui ne s'appellent pas Vincent. Mais Dan, John, Jackie, Herbert, et pour les "locaux", non, "locales" Phoebie, Jessie, Stephanie et je ne me rappelle plus des autres. Elles sont drôles, gentilles et fêtardes. Pour finir la nuit à 8.00 elles peuvent. Vincent les connait depuis son arrivée en juillet ou presque. Ils sont un bon groupe d'amis, elles, lui et les autres étudiants étrangers.
Hong-Kong n'est pas résumable, ni racontable. Surtout que si je vous dis "miraculeux", "peuplé à craquer", "portuaire", "vertical", "vertigineux", je ne vous apprends rien! Vraiment c'est à vivre. Vous pouvez voir mes photos en revanche. Parce que c'est un peu le paradis pour faire ce que j'appelle du "safari urbain". "Urban safari" ici. Car on parle le cantonais, (pas le mandarin) et l'anglais. Langue qui se veut officielle, tous les panneaux sont bilingues, comme les programmes télévisuels, tous sous-titrés. Mais en pratique, tous les Hong-Kongais ne pratiquent pas. Donc avec cette double-culture héritée de la colonisation britannique (HK n'a été rétrocédé qu'en 1997 à la Chine, pour rappel), je suis beaucoup moins 'lost in translation' que je pensais. Scarlet Johannson je t'aime s'il te plaît.
J'ai oublié plein de choses, ça ressemble à un premier post quoi... :)
Deux jours ont passé après mes quelques 11 heures et 25 minutes de vol depuis Paris. Les rencontres de l'avion feront peut-être l'objet d'un autre post, peut-être.
Et je repars demain, à 23.05, e(et un autre kiff de 11 heures et 25 minutes) pour Melbourne, Marion, Alexia, l'Océan Pacifique et les 30° degrés Celsius sur plage.
Paix, amour.
Ps: Carlos, on retiendra surtout tes blagues, t'inquiète pas.
19 janvier 2008
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