31 août 2008

Bali : présentation de l'île

Vous avez parlé, et je vous en remercie. C'est toujours réjouissant de savoir qu'on est lu. J'avoue que j'espérais plus de votes par arpport au nombre de gens qui lisent le blog. Mais bon :)

Voici donc le premier billet de cette série de posts thématiques que vous avez souhaité en majorité voir venir ici.

J'ai décidé de commencer par une présentation générale de Bali, pour vous familiariser avec le cadre enchanteur qui constitue le décor de ma vie depuis ce 20 juillet où j'ai quitté l'Inde, mon frère, nos amis pour venir ici.


Bali est une petite île d'Indonésie. Cet Etat de l'Asie du Sud forme le plus grand archipel du monde avec ses 17 000 îles, dont 6000 habitées :). C'est aussi le 4ème pays le plus peuplé (230 millions d'habitants en juillet 2007) et la situation de pluri-insularité en fait un pays culturellement très contrasté, la devise nationale illustre d'ailleurs bien ce kaléïdoscope de cultures: "l'unité dans la diversité".

Pour parler un peu géographie, Bali est une île volcanique, en fait l'Indonésie elle-même est un archipel volcanique. Avec des volcans en activité oui oui. Agung Rai (le mont Agung) qui ne fait pas moins de 3140m d'altitude est le point culminant de l'île. Il y a 30 000 ans, le mont Batur (1717m), à l'Est de Bali, s'est même décroché le titre de la plus grosse éruption volcanique jamais connue sur Terre. Bon c'est vieux, mais les récentes performances à côté sont ridicules par rapport à ce qui a été calculé par les scientifiques. Agung Rai a pété la dernière fois en 1963, il parait que c'était quand même sympa comme spectacle!

Bali au regard des grandes îles comme Java, Sumatra, Borneo, la Papouasie Nouvelle-Guinée ou le Timor oriental, figure vraiment comme une île minuscule au regard du nombre d'habitants (3 millions de Balinais) comme de la superficie de l'île. Mais grâce au tourisme qui s'y est développé, en Occident, nous connaissons bien plus le nom de Bali. Bali résonne avec les mots "paradis", "plages de rêve", "surf", avec "exotisme","massage", que sais-je encore! Je ne vais pas démentir la douceur de vivre qui règne ici. Je crois qu'au fond de moi j'y suis venu pour ça (autant que pour le surf), que j'avais besoin de cette suavité après le séjour indien.



Je parlerai du phénomène religieux, qui est omniprésent ici aussi dans une forme d'hindouisme différente que celle rencontrée en Inde, quand j'évoquerais le peuple balinais.

Je vous raconterai le surf également, pour partager avec vous les joies infinies de ce sport extrême.

Je traiterai des fêtes hors norme qui se donnent dans les clubs de Kuta. Quelque chose d'unique, à en croire les clubbers expérimentés, c'est encore autre chose qu'Ibiza ou certaines célèbres autres îles grecques ou croates.

Que du bon à venir!
A dans 3 jours!

25 août 2008

Selamat pagi!

Bonjour! en mahasa, la langue commune à toutes les îles indonésiennes. Bonjour et bienvenue à Bali!

Après toutes ces expériences vécues dans le sous-continent indien, je me dirigeai donc de nouveau vers l’Australie. Un nouveau passage de l’hémisphère Nord à son copain du dessous et me voici à Bali, où je comptais seulement faire une courte étape. Deux semaines, trois grand max.
Et… comment dire? je me suis plu ici, tout simplement. Bien plus que je n’aurais pu l’imaginer.
J’ai atterri en terre indonésienne le 20 juillet. Cela fait donc maintenant 36 jours que j’aime et que j’apprends Bali. 36 jours de soleil et d’aventures palpitantes que je vous propose de lire ici.

Vous allez décider, vous, chers lecteurs, de la manière dont vous voulez découvrir ces histoires.
Les résultats du sondage à droite de ce texte me donnera l’option que je retiendrai.

Je vous présente les choix:

*Un post, un jour. Je m’engage à écrire chaque jour un post sur ma vie balinaise passée et présente, mes voyages au sein de l’île, et sur la culture balinaise. Les posts seront photo illustrés ou non. En contrepartie, si vous choisissez cette option-là, vous vous engagez à venir me lire chaque jour.

*Pictures only. Une série de posts illustrés avec légende que je déciderai d’arrêter quand j’aurai envie de reprendre la plume (oui, le clavier).

*Des posts thématiques. Chaque post traite un des aspects de la vie ici. Chaque post est construit et illustré par des photos. Publication des posts tous les 3 jours.
Je vous propose une liste non exhaustive et en désordre: l’amour, les amis, la fiesta, les débuts de ma carrière de photographe, les petits voyages, la plage, l’argent, les Balinais.




Alors à vos clics chers amis!
Je vous attends!

Faites aussi participer votre entourage: vous pouvez voter à plusieurs reprises, alors disons un clic par personne dans le foyer, demandez-leur leur avis bien sûr, et n’oubliez pas les enfants, même jeunes, ce que je raconterai sera audible par tous, ne vous inquiétez pas.

A ce propos, je commence un blog en anglais à tonalité plus "trash". Ceux qui savent contrôler leurs émotions quand ils sont confrontés aux cotés les plus obscurs de la réalité du monde (autrement dit, expérience requise: normal, on n'emmène pas des novices partout, alors désolé d'avance pour ceux qui tenteraient tout de même leur chance alors qu'au fond d'eux-mêmes, ils savent qu'ils n'ont pas envie de lire et voir de pareilles choses) et qui pourraient se trouver intéressés voire excités à l’idée de lire des récits illustrés que je qualifierais de (je lâche une fois de plus ce mot que je kiffe) HARDCORE! Ceux-là peuvent me demander l’adresse url par email (pas en commentaires, comme ça on n’en parle plus ici, merci).

Chers membres de ma famille, même (très) élargie, vous oubliez instantanément ce que vous venez de lire! Pfuuuit! :)


Vous avez 5 jours pour le vote, chers amis.

Quel que soit le résultat, samedi le jour du plaisir, j’envoie les réjouissances loin, très loin dans le cyberespace. Avec ce débit fourré au chocolat brut et délicatement toppé de crème de volupté. Ce style exquisamment inclassable parce que tellement bordélique, que vous aimez, maintenant que vous le connaissez…

Just because this is my way heh!
And you know I love to play, so this time folks it’s YOUR choice with MY way. And it will rock, YEAH! ROCK IT!






PS: Je voudrais préciser que parmi mille autres choses, l'Inde m'a enseigné l'Humilité, la vraie humilité, celle qui te fait sentir plus que misérable face à ce qui nous entoure. Mais c'est tellement BON parfois de faire le cabot. Je ne vois aucune raison valable de m'en priver. Je me suis délivré de la peur de choquer autrui. Parce que tout simplement la vie en société est un show! Le définitif "soit t'en es, soit tu regardes" est une arnaque: on peut tous choisir de faire l'un ou l'autre le moment venu. Et j'ai compris que lorsque l'on ose, TOUT EST POSSIBLE!
Je m'arrête là et vous laisse vous exprimer, vous ou ceux qui osent le faire. ;)

20 août 2008

Nepali map now!

Et c'est ainsi qu'arriva la carte du Népal, avec le chemin parcouru (dans ces bus épiques dont je vous ai si longuement parlé) pendant les 3 semaines où je suis resté dans ce pays grandiose.

Here we are:




19 août 2008

Introducing the MAP of my Indian trip!

Oui, je le sais, je vous ai menti effrontément en annonçant que le prochain billet parlerait (oui, mes posts parlent! vous ne m'entendez pas quand vous me lisez?), parlerait, je disais donc, de Bali.
Mais soyez rassurés, il arrive ce débarquement en Indonésie et les folles aventures que je vis ici depuis maintenant 1 mois et 2 jours!

Avant cela, je voulais vous montrer le trajet que j'ai parcouru en train pendant mon voyage en Inde sur une carte, c'est plus clair et j'ai essayé de faire ça joli :p

Alors j'envoie:


10 août 2008

Auroville

Auroville, c'est donc un projet débuté en 1968 sous la houlette d'une française, Mirra Alfassa, connue partout en Inde sous le nom de "La Mère", et qui fut la compagne spirituelle de Sri Aurobindo, un philosophe indien qui a laissé une pensée célébrée dans toute l'Inde (et ailleurs). Une pensée dite "de l'homme nouveau".

(paragraphe suivant > source: Wikipedia)
Le projet originel de la ville prévoit 4 zones (internationale, culturelle, industrielle, résidentielle) aménagées autour du Matrimandir, occupant 25 km2 (actuellement 10 km2 sont réalisés). La ville est supposée avoir la forme d'une spirale galactique une fois sa construction achevée. Auroville devait à l'origine accueillir 50 000 habitants.
Auroville se compose de l'agglomération d'environ 80 villages répartis dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres, qui abritent une communauté internationale d'environ 1 800 résidents dont les 2/3 de 33 nationalités différentes.
A leur arrivée, hommes et femmes trouvèrent un site aride, sans eau. Ils creusèrent des puits et, pour faciliter le pompage, installèrent des éoliennes, un réseau d'évacuation et d'adduction d'eau, développèrent des activités artisanales et un centre de traitement informatisé…
La Mère parlait du projet en ces termes : « Il doit exister sur Terre un endroit inaliénable, un endroit qui n'appartiendrait à aucune nation, un lieu où tous les êtres de bonne volonté, sincères dans leurs aspirations, pourraient vivre librement comme citoyens du monde… »

On devient Aurovillien après une période d'"essai" de quelques mois, après, une sorte de jury se réunit pour évaler votre intégration, et pour voir à quels projets vous avez participé. Bref un conseil de sages qui décide si le candidat mérite la "nationalité" aurovillienne ou pas!

C'est un monde assez étrange. D'abord, ce qui frappe, ce sont les bâtiments: une architecture débridée, parfois loufoque, souvent intéressante. Des architectes du monde entier sont venus à Auroville pour réaliser des structures qui tiennent souvent du fantasme accompli. A Auroville, il y a beaucoup beaucoup d'argent. Provenant de dons, d'un marché immobilier florissant, et de toutes les activités commerciales labellisées "Auroville" (c'est-à-dire tout ce qui est made in Auroville: bijoux, huiles, plantes, vêtements, objets de déco et des milliers d'autres choses) qui générent des revenus considérables. Les Aurovilliens ne manipulent pas de liquidités, il ont un compte bancaire spécial, et quand ils achètent quelque chose, seul leur numéro de compte est demandé. C'est l'ashram qui gère toutes les finances de la ville.
Un ashram? C'est une organisation à vocation religieuse. Ca désigne aussi le lieu où l'on se dédie à un effort consacré à la recherche d'un certain détachement spirituel. L'ashram d'Aurobindo a une grande influence à Pondichéry également, on peut venir y prier sur le mausolée de La Mère, et énormément de monde croit et cultive la pensée développée par Sri Aurobindo.

Je ne me lancerais pas dans une critique approfondie de ce qu'est devenue aujourd'hui cette cité utopique, d'abord parce que j'estime y être resté trop peu de temps pour avoir creuser la question, et puis parce que ça ne m'intéresse au final que moyennement. Je laisse ça aux frénétiques du débat stérile: c'est un vrai sport pour certains!

Il n'en reste pas moins que Auroville a dévié de ses buts premiers dans le sens où de nombreuses personnes à l'origine du projet se sont insolemment enrichies, et que le système des financements de l'ashram est loin d'être transparent.

La question du rapport entre les Aurovilliens venus d'Occident avec les Indiens d'Auroville (oui il y a des Indiens à Auroville!) suscite de nombreux débats aussi. J'ai même entendu le mot "esclavage", du grand n'importe quoi à mon avis... d'après ce que j'ai vu, et en parlant avec des Occidentaux et des locaux, oui, de nombreux Indiens travaillent pour Auroville, mais ils sont libres de choisir leurs projets et la plupart résident à Auroville parce qu'ils croient en Aurobindo. Ce sont des choix, et on ne préjuge pas de la liberté individuelle aussi légèrement. Evidemment il y a eu des exemples de manipulation, mais cela est aussi un des produits de l'idéologie capitaliste libérale dominante, comme de tout autre système de pensée, y compris les idéologies qui refusent justement toute aliénation de la liberté humaine.

Si vous voulez prolonger la réflexion, l'espace des commentaires vous est grand ouvert!

Prochain billet: Bali, Indonesia!

Quelques photos à venir...

7 août 2008

Toukano's Space


Juste un petit aparté pour vous envoyer vers ma page Myspace.


Au programme photos Fisheye et mise à jour de photos assez fréquente.


En attendant de me faire un vrai site internet (en projet, je vous en reparlerai), c'est le lieu que je privilégie pour exprimer ma créativité, en pleine explosion en ce moment!


Pour accéder au site, cliquez là: http://www.myspace.com/toukano ou sur le titre de cet article. And enjoy.


Et ajoutez la page dans vos favoris!

1 août 2008

Pondichéry


Hi everybody,

Je vous évoque mes dernières semaines en Inde et après je vous emmène sous le sunshine de Bali, en Indonésie où le ciel est bien dégagé et la température au sol, jamais loin de 30°C. Celle de l'eau? un bon 28°C. Embarquement sous peu!


Voici une semaine passée avec Pierre. Je ne vous ai pas parlé de mon frère?

Pierre, après un joli petit diplôme d’Ecole de Commerce a décroché un poste intéressant sous tous rapports chez ATC France, une boîte internationale de chimie qui vend des produits pour traiter le cuir, à différents stades. Et ATC a décidé d'envoyer ce jeune garçon motivé, polyvalent, courageux, à… Chennai. Madras, pour les non-intimes. Capitale de la province du Tamil Nadu, 4ème ville indienne, c'est un énorme pôle économique du pays. Chennai attire les plus grandes entreprises dans ces domaines: informatique, télécommunications, productions électroniques (siège de Nokia, de TATA Telecom), et… traitement du cuir.
Ces derniers métiers sont considérés par les hindous comme des sous-métiers, ils sont effectués (ou étaient traditionnellement et le sont encore majoritairement) par une caste très basse dans l’échelle des castes car ils sont en contact avec la peau morte des vaches, animal sacré comme chacun sait. Les vaches trépassent (et la caravane…) de mort naturelle, bien évidemment.

Bref, pour revenir à mon frère, l’entreprise a ouvert il y a deux ans une antenne de production en Inde: les bureaux dans le quartier très odorant de Chromepet à Chennai (ça sent la chimie! et les peaux qui travaillent… pouah!) et l’usine à Pondichéry. L’entreprise vend donc les produits finis aux tanneries, et exporte beaucoup, notamment vers la France. Pierre est parti en même temps que moi, en janvier et il y est pour 2 ans minimum. Il est le responsable de toute la branche indienne, 150 personnes en tout, et après des débuts difficiles: licenciements de tout un réseau de corrompus au sein de la boîte, assise de son autorité (c’est le seul Français au sein de l’entreprise), problèmes divers qu’il voudrait bien oublier donc je m’arrête là. Désormais il gère très bien sa mission, les boss en France sont très satisfaits de son job et les résultats s’améliorent de jour en jour. Pierre a appris énormément depuis janvier, il a dû apprendre sur plusieurs tableaux (dont celui des éléments, en chimie!) et il ne s’est jamais découragé.
Je suis hyper fier de lui, ai-je besoin de le dire?

Repas de midi avec les employés d'ATC India. Ou comment durant mes 1ers jours indiens j'ai appris à manger vraiment à l'indienne!


L'usine de Pondi

Le patron me fait visiter sa factory

En revenant de ce voyage en Inde du Nord et au Népal, je suis donc ravi de revoir Pierre, et nous passons une semaine entre son appart, le bureau. Et enfin nous partons à Pondichéry.
J’y avais déjà passé plus de 3 semaines en cumulé avant de partir, et j’ai retrouvé avec un immense plaisir cette ville si particulière du Tamil Nadu. c’est même un territoire à part entière, une enclave en terre tamoule. Une ville française jusqu’à 1954, (Indépendance de l’Inde en 1947), reprise de temps en temps par les Anglais au gré des aléas de l’Histoire.

Les noms de certaines rues ont gardé leur nom français, on y rencontre des familles indiennes totalement francophones, et l’Alliance Française, l’Institut Français et la bibliothèque Romain Rolland ont une grande place dans la vie pondichérienne.

Au bord de l’Océan Indien et de la digue construite après le tsunami (qui a bien ravagé cette côte-là aussi), la Promenade se remplit de monde tous les soirs, et une certaine ambiance se dégage de la tranquillité des passants. Une sérénité, je dirais une quiétude, émane de la nonchalance des familles rassemblées qui profitent de la douce température vespérale, et ce, tous les soirs de la semaine… Assez hypnotisant comme spectacle.

Vendeur de fruits frais sur la Promenade


Gaëlle et son magnifique sari, devant chez elle :)



A Pondichéry, je suis hébergé chez Gaëlle, jeune Française qui fait un stage ici, qui est devenue une amie proche de Pierre et de moi. Elle part en août pour poursuivre ses études à Barcelone. Au fait, vous avez un stage à effectuer et vous avez soif d'aventures? Demandez Pondichéry en Inde! Ce n'est pas très demandé comme destination, mais vous pouvez à peu près tout faire comme stage, mission hypra intéressantes comprises, et surtout vous allez aimer le rythme de vie tamoul! Surtout que quelques mois en Inde vous apprendra plus sur la vie que nulle part ailleurs, à mon humble avis. Et à moins que vous ne préfériez une grande ville, c’est le spot pour intégrer une communauté française très hétéroclite et surtout très accueillante! Entre les volontaires en ONG, les expatriés jamais avares en conseil, et les vacanciers détendus, il y a toujours des bonnes soirées à faire. En revanche, pour les sorties, à minuit plus rien n’est ouvert, même le week-end… L’alternative se trouve donc dans les fêtes privées, et il y en a pas mal! Les parties de poker s’organisent vite et il y a du petit niveau. Je tiens à dire que si ça m’est arrivé de perdre (jamais gros), je ne suis pas parti de Pondichéry en négatif!


Virée en scooter à travers un village de pêcheurs. Les gamins accouraient pour nous voir, ils nous applaudissaient, posaient pour les photos: des réactions fréquentes dans certains coins de l'Inde, mais à 4km de Pondichéry, on a été un peu surpris...!




Bollywood style! Avec Coralie et Delphine deux chtiotes du Nord plus drôles tu meurs. A Pondi, elles étaient volontaires en ONG.


Hot dancing au Quartier. Prestley avec Anne-Line et Julie.


"Amour pour tous, haine pour personne"


Julie, absolutely "London Fashion". 100 roupies la paire de lunettes ahah.


Voilà pour Pondichéry, j’aurais mille autres choses à dire, sur Auroville entre autres... Humm, oh et puis si! Je vais vous en parler un peu.

Ok, I just made my mind, next post guys: Auroville, une ville utopique fondée il y a 40 ans, basée sur la croyance d’une humanité universelle et « le lieu d'une vie communautaire universelle, où hommes et femmes apprendraient à vivre en paix, dans une parfaite harmonie, au-delà de toutes croyances, opinions politiques et nationalités »...


Si ça donne pas envie d’en savoir plus ça… :)

Quelques autres images/lieux/faits culturels de Pondichéry:

Goubert Market, un lieu riche en couleurs et en odeurs. Le marché aux fleurs est enchanteur et le marché aux poissons est ... intenable!





Je me suis fait moi aussi bénir par l'Eléphant (j'aimerais vous parler du contact de la trompe sur la tête mais... je n'ai pas vraiment réalisé, j'étais simplement ailleurs, ces rituels sont tellement enivrants...)

Affiche de cinéma (Bollywood désigne les productions de Bombay, Kollywood celles de Chennai)


Temple au crépuscule.

///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////